Nous avons quitté l’Argentine pour remonter sur la Bolivie. Après une nuit passée à Villazon et 3 voyages cocasses en minibus nous voici arrivés à Uyuni u bord du plus grand désert de sel du monde
Nous partons visiter en 4×4 avec 2 français et 2 brésiliens le cimetière de train
Nous repartons pour le Salar en commençant par l’ojo del sal, une résurgence d’eau au milieu du désert
Le 4×4 nous emmène ensuite à l’hôtel de sel qui fût le théâtre du départ du Paris-Dakar (si si même si ce n’est pas sûr la route de Paris à Dakar)
Direction la Isla Icahuasi à 40 minutes de route même s’il n’y a pas de route dans ce désert
Au retour arrêt pour faire des photos de perspectives
Deuxième arrêt dans un endroit inondé pour apprécier le coucher du soleil
Oui nous sommes sur Marionviaje et pourtant cet article traite de mon voyage
Je remercie mon épouse qui m’a proposé de rejoindre ma fille de l’autre côté du pacifique et de vivre cette aventure.
Parti donc le mardi 25 juin pour São Paulo vía Barcelone , l’aventure commence par une nuit sur les sièges de l’aéroport qui ne sont pas du tout fait pour dormir.
Programme du jour pour Milka et moi
Sao Paulo n’est qu’une escale vers Iguazu Chutes que vous avez déjà vu avec Marion mais j’ai fait différent avec moins de soleil
Iguazu
Côté brésilien
Côté argentin
Salta
Après 2 jours à Iguazu direction Salta ville que j’ai bien apprécié. Nous sommes montés en haut du cerro san Bernardo à pieds ou l’on a une vue plongeante sur la ville.
Et comme le hasard fait bien les choses en voyage aussi j’ai rencontré Joël un ami de Marion qui lui a appris des techniques pour faire des colliers
Humahuaca
Jour J je prends le bus pour Humahuaca où Marion se trouve. La tension monte, la surprise sera-t-elle totale ?
Le bus n’en finit pas d’arriver. Escale pour changer les pneus nous arrivons vers 13 heures. Je vous laisse découvrir les retrouvailles en vidéo Lorsque je pourrais la télécharger
Les retrouvailles
Nous sommes restés 4 jours à Humahuaca avant de partir pour la Bolivie
Loïc : Comme j’ai été long à vous donner des nouvelles de Marion, je vous poste 2 articles coup sur coup et vais partager quelques photos que j’ai reçu de Marion pour la fête des pères.
Marion a donc retrouvé les Bournez à Salta avec qui elle est remontée sur Humahuaca
La famille Bournez
Bournez et Maurice, 2 familles de Savoyard
Vigogne
Purmamarca : La paleta de pintor
El Hornocal
Marion : La région est pleine de Vigognes. Ce sont des camélidés sauvages protégés. Vous pouvez voir les palettes de couleurs et notamment El Hornocal, la montagne aux 14 couleurs. Chaque couleur correspond à une sédimentation appartenant à une époque. Avec le temps et les mouvements terrestres, une partie à glissé et la terre a dévoilé ses dessous.
A humamarca, j’ai laché les Bournez partis vers la Bolivie pour rester un peu dans cette région magnifique. J’ai trouvé du woofing dans une auberge de jeunesse ; Hostal la Antigua
Woofing : Le woofing est une pratique d’origine anglo-saxonne par laquelle une ferme biologique (« l’hôte ») accueille un volontaire (appelé « wwoofer »), permettant à ce dernier d’acquérir des méthodes d’agriculture ou d’élevage biologiques en échange d’une aide bénévole. Le mot « woofing » vient de l’acronyme « WWOOF » : World-Wide Opportunities on Organic Farms (« opportunités dans des fermes bio du monde entier »).
Les volontaires ne sont pas rémunérés : leur aide (potager, verger, animaux…) se fait le plus souvent en échange du gîte et du couvert. Ils ne sont pas liés à l’exploitant agricole par un contrat de travail.
Par extention, on utilise souvent ce terme dans le cas d’un travail non rémunéré en échange du gîte et du couvert.
Elle doit son nom au peuple indien des Omaguacas.
On y trouve plusieurs bâtiments dus à son passé colonial dont l’église.
L’ensemble des ruelles et des maisons rappellent une cité de l’époque
coloniale. Depuis 1969, la ville est le siège d’un évêché, et l’église
Nuestra Señora de la Candelaria y San Antonio est devenue la cathédrale de Humahuaca.
Après avoir passé une semaine chez Pierre-Yves, (Squat en échange vaisselle 🙂 ), je leur ai laissé reprendre le cours de leur vie de famille super active pour retrouver la famille Brounez que j’avais rencontré à Mendoza. Nous sommes installés au camping municipal. C’est l’éclate !!
Visite de musée sur les enfants Incas sacrifiés du haut d’un volcan, dictées, travail de fabrication de bracelets en mode intensif avec bien sûr exploitation des enfants :), mais aussi Asados, échange d’info, rencontre d’utres voyageurs, rigolade party sans oublier de nouvelles rencontres avec des artisans. Invitations de toutes part, partage de culture
En bref, tout va bien !
« La clandestinité ne sauve aucune vie ». L’avortement est illégal en Argentine et très mal vu dans ce pays profondément catholique. Le panuelo verde (foulard vert) est le symbole de la lutte pour l’avortement légal.
Le mouvement « ni una menos » ou « Pas une de plus » est un mouvement féministe presque tabou ou vu comme banal. Le « Panuelo » violet est le symbole de ce mouvement.
Manifestation pour le droit des femmes. Avortement légal accompagné et sécurisé, contre le machisme, la maltraitance et les assassinats de femmes non punis par la justice. On manifeste aussi pour les droits des homosexuels et des transexuels. Au premier plan, ce sont es professionnels de santé. J’ai entendu beaucoups d’histoires de très jeunes filles (une dizaine d’années) violées contraintes de garder l’enfant.
« No nacemos mujeres para morir por serlo » « Nous ne naissons pas femme pour mourir pour cela »
Les filles qui portent des perruques roses sont des personnes qui aident à avorter. Hors la loi, elles prennent de gros risques pour elles et pour les femmes enceintes qui ne peuvent pas ou ne veulent pas garder leur enfant.
Quelques photos de Salta
Vue du Cerro Bernardo. Bien sûr, je suis monté à pieds, pas en téléphérique. Comme vus pouvez le voir, l’architecture coloniale est très « Kitch ». La mairie elle ressemble à une tarte à la crème 🙂
Tout d’abord, Pierre-Yves se joint à moi pour remercier tous ceux qui ont participé au projet de Solar Inti en répondant à l’appel lancé le 25 avril dernier pour équiper le Village de Rodio en écofour. Comme je vous l’expliquai lors de l’article précédent, voici le programme : Camion jusqu’à Humahuaca, puis marche de 3 heures à 4000 mètres pour arriver au village.
Dans ce village, 29 familles vivent en communauté, c’est à dire ensemble. Ils préparent et déjeunent toujours ensemble. Certains ont des chèvres, d’autres cultivent des patates ou du maïs. Ils tirent l’eau d’un puits dans la montagne et l’école seule est pourvue d’électricité.
Ils sont pour la plupart de religion évangéliste, sont nés au village ou dans un village des alentours.
L’équipe au départ de Salta
De la neige !
Paysages de montagne magnifiques
Arrivés au bout de la route. Une parti des villageois nous attendent avec des mules pour descendre les fours au village
Portion de route entre Humahuarca et le village
C’est parti pour 2 heures de marche
Vicuna
Une pause s’impose !
Ils chargent les fours sur leur dos avec des cordes. Certains ont des mules.
Les fours sont très lourds. Ce sont les villageois qui les portent. Pour nous qui ne sommes pas accoutumés à l’altitude, c’est presque impossible. Chaque pas nous coûte en oxygène.
Lors de la pose, les filles nous parlent de leur mode de vie. La communauté de ce village est Quechua. Il ont une école et une église mais pas de route.
Premier aperçu du village !!!
Murets fait par les quelqques habitants qui vivent ici.
Enfin arrivés ! Nous allons déposer les fours dans l’école avant de rencontrer les habitants. Après une collation au pain cuit dans un four en terre et un maté cocido ultra sucré, c’est la découverte des fours. Nous passons ensuite un moment à échanger puis nous allons tous aider pour la cuisine qui se fait encore dans une grande marmite sur un grand feu.
Voici le fameux four écologique
Au premier plan, variété de patates sucrées, les petites patates sont des andines.
Ce four a l’avantage de chauffer en 15 minutes jusqu’à 250 °C avec très peu de bois. La consommation de bois est un thème important. Comme vous pouvez le voir sur les photos, la zone est très aride. Les villageois doivent faire 1H30 de marche chaque jour pour trouver du bois pour manger et se chauffer, ce qui amplifie le phénomène de désertification. Après les explications, on cuisine !
Tout le monde est au travail. Empenadas, pain, asado guiso patates de toutes variétés et toute forme de préparation sont en cours !
Je me mets aux empenadas
On peut aussi mettre la marmite directement sur le four
Heureux et fier du succès de nos fourset de nos patates au four
Et tout le monde se régale !!
Tête de chèvre
Les plats sortent enfin des fours. Excellent moment de partage et de convivialité ! Excellente aussi la tête de chèvre. J’ai gouté aussi la partie derrière l’oeil : Pas mauvais mais je n’en mangerais pas tous les jours !
C’est le moment de repartir …Cette fois on fait le trajet en mule
A 4000 m il fait froid !
De retour aux voitures, il ne nous reste plus qu’à rentrer à Salta
Partie le 8 mai d’Iguazu pour Obera, petite ville située à 100 Kms au sud d’Iguazu, je me suis installée chez Diego, céramiste de métier. J’en profite pour perfectionner « mon artisanat »
Quelques photos
Diego, les mains dans la céramique, et libre dans sa tête !
Un arbre qui fait de délicieux petits fruits rouges qui se récoltent très façilement
Goûter typique en mission – Palta mariposa ou Avocat papillon !!
Mur peint par Diego – Il parle des enfants qui furent envoyés à la guerre avec des armes défectueuses. Ils sont considérés comme des héros de la patrie.
Mujales de Diego – Habla de los ninos que fui enviados con armas defectuosas a la guerrera. En la historia hablan de ellos como heroes de la patria.
Faculté d’Art d’ Obera
Maracuya, ou fruit de la passion. Trop Bon !!! on les ramasse comme les avocats, en se promenant dans le quartier.
Mes oeuvres !
Taller – mi primero duende. Atelier – Mon premier Elfe
24 Mai – Départ en bus pour Salta retrouver Pierre-Yves. Je dois arriver dimanche matin. Nous partons ensuite pour Humahuaca en camion avant d’entamer une marche de 3 heures sur un chemin à 4000 m d’altitude pour enmener les écofours dans le village de Rodio. Après un échange avec les habitants, dodo dans l’école et formation à leur utilisation, la redescente est prévue le lendemain.
Marion nous a envoyé un petit mot expliquant l’endroit ou elle est :
A 5 km de Iguazú, en la región sub tropical de misiones, está el dulce barrio de los orquideas. Acá no sé quema el plástico en la calle y no sé encontró basuras en el piso. Hay una consciencia ecológica y un amor del lugar de los habitantes. La flora local que se descubra en los caminos es una locura de riquessa ! Se puede leer pancartas de maderas con los nombres del los árboles y mirar hermosos murales que representan la fauna local. Cuando viví allá, ví mariposa morphos azules todos los días, baña me en el río y encontré un montón de personas hermosas y interesante que me recibieron muy bien y me contaron la historia del lugar. Fui alojada en la casa del hermano de un bueno amigo artesano. Joaquín y Nidia son arteasanos también y trabajan con materiales naturales y de recyclado para hacer bijuteria, artículos de moda, de decoración y de baño cómo jabón natural. Su tienda se llama metamorfosis y tienen taller parecido a la cueva de Alibaba ! Ellos me ayudan a empezar mi zucata. Para salir es muy bueno de ir a la Barcasa, un espacio cultural dónde se toca mucho la música, y se bebe la cerveza artesanal güembe que es preparada en la cervecería de Diego en el barrio. Encontré mi primera experiencia de música en una comparsa con los habitantes que se juntan todos los martes a la noche para tocar percusión con buena onda.
Los habitantes se Juntan para mejorar su cálida de vida en el barrio. Empiezan un trabajo con la cooperativa turística de Iguazú para hacer un trajecto turístico alternativo para que las personas descubran la cultura de acá, al contacto de la popular. Si quieres ir a este lugar, se toma fácilmente en micro y concejo las cabañas de Leonardo para alquilar. Son habitación muy cómodas construida con sus propios manos y el desayuno es elaborado con comida tradicional y local como los jugos frescos de frutos de Violetta, almacén. Delicioso !
Magasin de Joaquín
Joaquín au travail
Caverne d’Alibaba
Melina, la fille de Joaquín et Nidia
Récolet de Kaká. Si si!!
Araignée dangereuse trouvée dans la maison
Abeilles noires. Elles ne piquent pas et leur miel est excellent
Le ruisseau où je me suis baignée
Murs d’ Iguazú
Activité d’école de rue
À 5 km d’Iguazú, dans la zone subtropicale, province de
Missiones, se trouve le doux quartier des orchidées. Ici, le plastique ne se brûle
pas dans la rue et l’on ne trouve pas d’ordures sur le sol. Il y a une conscience
écologique et un amour du lieu où l’on habite. La flore locale que l’on
découvre le long des routes est riche à la folie! Vous trouvez des pancartes en
bois portant le nom des arbres et admirer de superbes peintures murales
représentant la faune locale. Lors de mon séjour, je voyais tous les jours des
papillons bleus, me baignais dans la rivière et j’ai pu rencontrer de nombreuses
belles personnes, intéressantes qui m’ont très bien accueilli et m’ont raconté
l’histoire de ce lieu. Je logais chez le frère d’un bon ami artisan. Joaquín et
Nidia sont également des artisans qui travaillent avec des matériaux naturels
et recyclés pour la fabrication d’articles en bijouterie, mode, décoration et
produits de bain comme du savon naturel. Leur magasin s’appelle « Métamorphose »
et ils ont un atelier qui me fait penser à la caverne d’Alibaba! Ils m’aident à
démarrer ma zucata.
Pour sortir, il y a un espace culturel très bien « La Barcasa » où l’on
joue de la musique et l’on boit de la bière artisanale « güembe » qui
est préparée dans une brasserie du quartier, chez Diego.
J’ai participé à une fanfare avec les habitants
qui se réunissent tous les mardis soirs pour jouer des percussions. Première
expérience musicale !
Les habitants se réunissent pour améliorer leur
vie chaleureuse dans le quartier. Ils commencent un travail avec la coopérative
touristique d’Iguazú pour créer un forfait touristique alternatif afin que les
gens découvrent la culture de ce lieu, au contact du populaire. Si vous souhaitez
venir le visiter, vous pouvez facilement prendre un bus et aller à la location
des chalets de Leonardo. Ce sont des chambres très confortables construites de
leurs propres mains. Le petit-déjeuner est préparé avec des plats traditionnels
et locaux tels que des jus de fruits frais Violetta. Délicieux!
Si vous suivez Marion Viajé, c’est aussi parce que vous partagez ses valeurs. Nous avons décidé hier soir de vous parler de Pierre-Yves et Josefina et de leur projet.
Marion et Agnès ont rencontrés Pierre-Yves il y a 2 ans en Argentine lors de leur voyage. Il les a guidé aux alentours de Salta ou il habite et leur a exposé Solar Inti.
Solar inti est une micro-entreprise argentine développant la fabrication de fours solaires et écologiques ayant une faible consommation en bois. Inventés et fabriqués à la main ces fours sont vendu à bas prix afin d’être accessibles aux populations ayant peu de moyens.
Une grande partie de la population vivant dans les villages argentin cuisent leurs aliments ou chauffent leur eau, le plus souvent, avec de grands fours en terre ou des fours demandant une grande quantité de bois pour fonctionner. Cela n’est pas économique, c’est énergivore, fastidieux et participe au déboisement de leur environnement.
Aujourd’hui, Pierre-Yves et Josefina font appel à nous pour participer à un projet de parainage pour les familles de Rodio Valle Delgado. Voici leur message :
« Chers amis, nous souhaitons vous proposer un nouveau défi : Aider les familles du village de Rodio Valle Delgado !
Nous proposons d’équiper 26 familles et l’école primaire (27 cuiseurs écologiques et 27 fours à pain). Le climat est très aride, à 3000 mètres d’altitude. Pas de route d’accès en véhicule jusqu’au village. Il est seulement possible d’accéder depuis Iruya, qui se situe à 5h30 de route depuis Salta (google maps) puis descendre à partir de 4000 mètres par les crêtes pendant 4 heures pour arriver au village de Rodio.
Les familles et l’école cuisinent encore au feu de bois. Environ 300 kg de bois sont récoltés y consommés chaque mois par chacune des familles (plus de 100 tonnes de bois à l’échelle du village par an). Les Cuisines et les maisons sont enfumées avec de graves problèmes de santé.
Les 26 familles et le directeur de l’école nous demandent notre aide pour pouvoir accéder à des cuiseurs écologiques, permettant ainsi d’économiser de longues heures de ramassage du bois, et améliorer les conditions de vie. Nous vous proposons de participer à hauteur de 90€ pour aider une famille. Vous pouvez réunir cette somme entre amis, et si vous le souhaitez-vous pouvez apporter un autre montant (les petits ruisseaux font les grandes rivières).
Nous espérons que vous pourrez répondre positivement à cet appel. C’est véritablement un coup de coeur pour ce village haut-perché dans la cordillère. Vous trouverez les coordonnées bancaires ci-dessous. Nous vous embrassons bien fort. Pierre-Yves et Josefina ———————————————————————————————- Par CHEQUE à l’ordre de Association Solar Inti Association Solar Inti
16 rue du
général de Gaulle
44170 Marsac sur Don
N’hésitez pas à mettre vos commentaires sur le blog. Si vous préférez faire un virement à Solar Inti, je vous donnerai les coordnnées par message personel
15 Avril, je me décide à quitter Mendoza et prend la direction du Nord. J’ai refusé la proposition de Christophe de l’accompagner pour voir les chutes d’Iguazú. Finalement en chemin, je me ravise et décide de prendre le car et de les retrouver là-bas. Je leur ferai la surprise.
Todo se come ! Como el chinchulin (tripes tressées) que se hace en trenzas.
Pour Tata, Jardin de l’hôtel ou nus étions ensemble
L’hôtel que je me suis choisi en arrivant
Les fleurs et fruits sint magnifiques
Dans un centre de protection pour animaux
Mon stand de bracelet
18 avril – Arrivée à Iguazú, je me suis fait un petit BBQ. Tresse de tripes ! comme vous pouvez le voir sur le dessin plus haut. Je suis retournée revoir le jardin de l’hôtel ou j’étais venu avec tata et me suis choisi un petit hôtel : l’Iguazú falls Hostel. Manana voy a las cataratas
Leschutes d’Iguazú (en espagnol : cataratas del Iguazú), chutes d’Iguaçu (en portugais : cataratas do Iguaçu) ou encore chutes d’Iguassu, situées au milieu de la forêt tropicale, à la frontière entre l’Argentine (80 %) et le Brésil (20 %), sont une merveille naturelle inscrite au patrimoine mondial par l’UNESCO en 1984. Le premier Européen à la contempler est Álvar Núñez Cabeza de Vaca au XVIe siècle. Des deux côtés des chutes, les gouvernements brésilien et argentin ont créé des parcs nationaux, le parc national de l’Iguaçu au Brésil et le parc national d’Iguazú en Argentine.
La plus belle chose au monde !
Les photos parlent d’elles-même. Ce site est tout simplement magnifique !
Retrouvailles avec Christophe et Tao. Il y a des papillons partout qui seposent sur nous.
Voilà plus de 2 semaines que je suis chez chez Christophe à Mendoza. Avant de repartir vers le nord, un petit résumé de mon séjour . Repos, repos et repos ont été mes activités de la première semaine. En effet je suis arrivée un peu sur les rotules à Mendoza ; c’est aussi la raison principale pour laquelle je ne l’ai pas accompagné au Chili le lendemain de mon arrivée.
Bel endroit pour se reposer
Mendoza, c’est la région du vin, mais aussi de plus en plus région de la bière. Et ça m’avait manqué une bonne bière !
24 – Mars – Journée Escalade
Après le repos, un peu de sport. Nous sommes partis faire un peu d’escalade.
Vamos a escalar
Canyon escalabaro, terrain de jeu maagique !
Améthiste à même la roche
Mon premier 4000 – Le Cerro Stepanek – 4180 m
Bon, j’ai oublié que j’avais peut-être fait un 4000 avec ma tata en Argentine. elle ne m’en voudra pas et corrigera en commentaire si je me trompe.
Le Cerro Stepanek est un petit sommet idéal pour l’acclimatation car proche de la vallée principale d’accès au principaux sommets du Cordón del Plata et au camp de Salto del Agua (voir description de la voie normale au Cerro Plata).
La voie normale depuis Piedras Grandes est accessible aux randonneurs au pied sûr.
Ca grimpe dur !
Un arbre typique d’Argentine, le Palo Borracho ou litéralement « baton Ivre », un arbre aux fleurs roses magnifiques. Il est doté d’un tronc particulièrement épineux.
Je n’allais pas quitter Christophe et sa famille sans lui laisser un souvenir. Dans un pays où les maisons sont peintes, c’est donc un dessin sur sa maison que je laisserai.